COMMENT NOTRE MAIRE PEUT-IL DORMIR TRANQUILLE ?

Publié le par l'UNION SAVINIENNE

Incompétence ou inconscience ?

 

La grogne depuis le début du mandat ne s’atténue pas (GROGNE DANS LES QUARTIERS ), elle ne fait que changer de quartiers et de sujets.

Elle s’est même amplifiée cet été, alors que les périodes estivales sont plutôt connues comme période de sérénité :

-Grogne à la piscine, sans directeur et livrée à elle même. Résultat : des locaux d’une saleté repoussante et des bassins qu’il a même fallu fermer pour les nettoyer. Il faut dire que là, contrairement à ailleurs, allez savoir pourquoi, ou plutôt si, « par économie » (dixit le maire), l’entretien en régie par des collaborateurs sur place a été supprimé pour être confié à une entreprise privée. Ne parlons pas des horaires d’ouverture qui en ont fait hurler plus d’un, ni des dates d’ouverture et surtout de fermeture de la piscine, qui fait que malgré l’été indien, comme bien souvent chaque année à cette époque, la date de fermeture a été arrêtée arbitrairement pour le jour de la rentrée scolaire…

-Grogne pour la prolifération des mauvaises herbes, suite au dictat de ne plus utiliser par souci écologique de produits chimiques (L’INTEGRISME ECOLOGIQUE) .

-Grogne des riverains de la rue des Dames (TRAVAUX RUE DES DAMES), où il a fallu reprendre les travaux plusieurs fois, pour permettre à quelques habitants d’entrer et sortir de chez eux et au bus de la TCAT de tourner dans la rue.

-Grogne des handicapés qui ne peuvent pas utiliser les trottoirs de la rue Chanteloup (-A-T-IL UN PILOTE DANS L’AVION ? ), ce qui est acceptable pendant la période des travaux, mais qui ne pourront pas plus le faire après. La municipalité n’ayant pas prévu de réduire un peu l’emprise de la voirie pour élargir les trottoirs et faire en sorte que des poteaux de lampadaires ou de feux rouges ne viennent pas interdire tout passage d’un fauteuil d’handicapé. 

-Grogne des riverains de la rue Lamoricière (ENCORE UN LEURRE ), convoqués pour une réunion de concertation sur le stationnement unilatéral dans leur rue, après que la décision ait été appliquée.

Et tout est à l’encans. A croire que la municipalité navigue à vue, qu’elle n’a pas de politique suivie, que tout se fait dans la plus grande improvisation, sans vision d'avenir.

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